Le couvent royal de Saint-Maximin

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La librairie du Guide Sainte-Baume

Le couvent royal de Saint-Maximin

Le couvent royal de Saint-Maximin

Mgr Jean-Pierre Ravotti

Découvrez la génèse du couvent royal de Saint-Maximin et ses prieurs par Mgr Jean-Pierre Ravotti, ainsi que quelques histoires autour de la présence dominicaine (1859-1957).

Histoires d’Images

Histoires d’Images

Franck Mortier et Lisa Candido

“Histoires d’Images” nous invite à redécouvrir la magie qui nous entoure. Trop souvent, nous vivons sans la voir, par habitude ou dérision. Pourtant, nous sommes tous issus de cette magie, reliés à elle par les filaments dorés de notre enfance. Souvenez-vous quand vous appreniez à lire dans les nuages, à voir la poussière scintillante qu’une fée jetait dans la lumière pour capter votre attention, ou quand vous étiez invités à danser dans les hautes herbes par le tumulte orchestré d’une tempête. Ces moments, la nature continue de nous les offrir, même si nous ne les voyons parfois qu’une seconde, un bref instant pour nous rappeler à nous et à la magie qui nous a créés.

Le livre est un mélange harmonieux de photographies et de poèmes. Les clichés, jouant avec les ombres et les lumières, révèlent les joyaux cachés des sous-bois et de l’horizon méditerranéen. La poésie de Lisa Candido offre une ouverture sur l’être et le monde, sous la forme de fragments poétiques. Ensemble, ils soulignent les mystères de la nature et de l’âme humaine.

Message de l’éditeur :  “Ouvrez les yeux avec eux !”
Saisissez l’instant avant que celui d’après ne prenne toute la place à celui qui vient de finir.

En somme, “Histoires d’Images” est bien plus qu’un simple livre. C’est une invitation à la contemplation, à la réflexion, et à la redécouverte de la beauté qui nous entoure. Laissez-vous emporter par cette ode à la Provence, dans la forêt du Var et sa magie du quotidien.
L’ouvrage, édité par SpotÉditions, se présente au format 24×21 avec 60 pages sur un papier texturé de 300 g. Son prix est de 25 €.

https://franckmortier.fr/le-livre/
* Le Magasin du Pèlerin – Sanctuaire de la Sainte-Baume
* Librairie Charlemagne – Toulon
* Librairie Le Bateau blanc – Brignoles

Les sagesses des peuples racines pour retrouver un nouveau souffle

Les sagesses des peuples racines pour retrouver un nouveau souffle

Frederika Van Ingen - Editions Les Liens qui Libèrent

Les sagesses des peuples racines pour retrouver un nouveau souffle

« Un jour, l’homme blanc demandera à l’homme rouge de l’aider à se souvenir comment revivre en harmonie avec la nature » dit la légende Navajo

Lorsque nous pensons réchauffement climatique, crises, guerres, effondrement de la biodiversité, etc.  nous désignons aussitôt comme responsable « l’humain » : c’est oublier qu’il existe des humains qui fonctionnent différemment. 

Il existe des sociétés humaines qui n’ont pas de mot pour dire « ennemi ». Pour certaines, la liberté est un principe inhérent à la vie. Dans d’autres, le mot richesse signifie « préserver l’eau pure ». Parfois, les chefs n’ont pas le pouvoir. Ailleurs, les champs ont un cœur. Souvent, les enfants ne font pas de crises d’opposition, car ils sont souverains et éduqués par la nature. Pour certaines de ces cultures, les notions de passé, de futur, s’inversent, ou parfois sont absentes. Pour beaucoup, le « je » n’existe pas sans le « nous ». Et l’être humain y est considéré -et apprend- à devenir un don, un remède, pour la nature. 

Bien plus que des étrangetés propres à des cultures éloignées, ces particularités nous montrent d’autres façons possibles d’être au monde, d’autres modes de relation. Elles traduisent une connaissance profonde du fonctionnement de la vie, des écosystèmes, et une capacité à s’y inclure que nos propres sociétés ont perdu en chemin.

À l’écoute de la Terre depuis leurs origines, les cultures ancestrales des peuples racines –aussi appelés autochtones, indigènes- portent en elles le sens de ce que signifie « être humain » : faire société pour contribuer aux équilibres de la vie. À travers des exemples issus de ces peuples, ce livre propose huit lois ou principes inspirés de leurs visions du monde, qui nous indiquent les liens à reconstruire dans nos sociétés pour régénérer une culture symbiotique.

Et si la Terre nous parlait ?

Huit principe de vie inspirés des peuples racines

La voie de l'âme

La voie de l'âme

Anne-Laure Le Borgne – Editions Artège

De passage à la Sainte-Baume en mai dernier, j’ai rencontré des gens qui aiment goûter au silence de ses sous-bois, d’autres qui se passionnent pour la richesse de son histoire, d’autres enfin qui apprécient le défi sportif de ses sentiers escarpés : que cherchent tous ces promeneurs et qu’ont-ils en commun ? Peut-être ont-ils tous plus ou moins consciemment perçu que nous vivons la plupart du temps comme à la surface de nous-mêmes, et que nous avons urgemment besoin de replonger en notre sanctuaire intérieur : de retrouver la voie de notre âme.

C’est le propos du livre que je venais présenter à l’Hôtellerie, à l’occasion de la 4ème journée littéraire de la Sainte-Baume. Notre époque en effet semble bien présenter des caractéristiques propices à nous faire perdre le chemin de notre âme ! En partant de l’idée que ce sanctuaire intérieur est accessible par trois voies différentes – l’intelligence, le cœur et le corps – le livre aborde tour à tour chacune de ces trois voies, d’abord afin d’établir un diagnostic précis des obstacles qui nous empêchent de les emprunter, puis afin de trouver des solutions pour les surmonter : des défis simples et concrets sont proposés au lecteur.

La voie de l’intelligence est obstruée par l’omniprésence du numérique dans nos vies : nous avons la responsabilité de retrouver une pensée libre et solide pour ne pas être le jouet des opinions et des influences de toutes sortes. Le silence de la Sainte-Baume nous y aide.

La voie du cœur est entravée par un rétrécissement inédit de la culture : nous devons nous enraciner dans un terreau culturel pour endiguer le déferlement de violence que nous voyons surgir alors que l’empathie semble avoir disparu. La richesse de l’histoire de la Sainte-Baume est une belle porte d’entrée dans la culture de notre pays.

La voie du corps est encombrée par un surprenant éloignement du réel : à nous de renouer avec les limites de notre condition humaine pour occuper joyeusement notre juste place dans l’espace et dans le temps. L’essoufflement ressenti lors de l’ascension à la Grotte nous fait ressentir la vraie mesure de nos forces.

Il est important de réinvestir ces trois voies non pas pour elles-mêmes, mais parce qu’elles nous permettent d’atteindre et d’habiter notre âme, qui est le lieu de la Rencontre, le « temple de l’Esprit Saint ». Saint Augustin en fait l’expérience dans Les Confessions: « Tard je T’ai aimée, Beauté ancienne et si nouvelle ; tard je T’ai aimée. Tu étais au-dedans de moi et moi j’étais dehors, et c’est là que je T’ai cherchée. »

«Aimer d’un coeur de femme»

«Aimer d’un coeur de femme»

Cécilia Dutter

À travers la figure de Marie et celle de Marie-Madeleine, la Bible nous donne à méditer les tempéraments opposés de ces deux femmes, en miroir inversé, mais aussi la destinée de deux sœurs en humanité, dont les mystères respectifs s’éclairent au regard de leur lien singulier au Christ. L’une met au monde le Messie, l’autre sera la première à qui il apparaîtra au jour de sa résurrection, missionnée pour aller porter la Bonne Nouvelle. Chacune joue un rôle essentiel, accompagnant Jésus dans son ministère, de façon différente et complémentaire, mais avec une même tendresse inconditionnelle. Leurs routes se rejoignent au pied de la Croix, point d’intersection, lieu et moment emblématiques où, à l’acmé de la souffrance de Jésus, elles communient dans l’amour qu’elles lui vouent. D’où l’idée, peu traitée jusqu’à présent, d’un essai autour de ces deux femmes emblématiques, non pas étudiées séparément, mais l’une en regard de l’autre.
Dans cet essai-méditation, je m’adresse tantôt à Marie, tantôt à Marie-Madeleine, pour « parler », avec ma perception de femme, de mère et de croyante moderne, à ces deux figures spirituelles qui ont tant de choses à dire à notre monde. Désir, émancipation, liberté, identité, égalité des sexes dans la complémentarité, sexualité, maternité, engagement dans l’Église, autant de sujets brûlants d’actualité que questionnent les femmes d’aujourd’hui dans une entreprise de redéfinition de la féminité, et que l’Évangile, il y a plus de 2000 ans, traite déjà avec infiniment de justesse.

Ce dialogue, par-delà les siècles, avec deux grandes figures bibliques souhaite mettre en lumière combien, loin d’être dépassées, Marie et Marie-Madeleine célèbrent une féminité libre et accomplie, qui affirme avec force la primauté de l’amour sur toute chose.

Jean le Baptiste, le passeur de lumière

Jean le Baptiste, le passeur de lumière

Pascale Léger

Au pied du massif de la Sainte-Baume, depuis plus de mille ans, l’église du prieuré de Saint Jean-de-Garguier est dédiée à Saint Jean-Baptiste, ce saint dont le nom apparaît près de cent fois dans le Nouveau Testament, mais dont on ignore bien souvent la vie. 

  Quelques images dominent : il naît quasi miraculeusement étant donné l’âge très avancé de ses parents.  Son nom est donné par un ange à son père, qui ne croit pas l’ange et est frappé de mutisme pendant  plusieurs mois. Dans le sein de sa mère, il tressaille de joie quand Marie enceinte de Jésus arrive chez sa mère, comme pour saluer l’enfant que porte Marie. Ermite du désert, il y vit vêtu d’une peau de chameau, se nourrissant de sauterelles et de miel sauvage. Il sort du désert pour baptiser dans le Jourdain et, à l’aube d’une ère nouvelle,  rappelle avec vigueur ses contemporains à retrouver l’essence de leur foi et à rectifier leur mode de vie vers une « sobriété heureuse ». Il baptise Jésus puis s’efface pour lui laisser la place.  

  Il parle dans une époque troublée politiquement et où des sectes rivales prétendent détenir la vérité religieuse. Son succès fait peur au roi Hérode, qui l’emprisonne. La belle-fille du roi, Salomé, demande sa tête et il meurt décapité.  

 Que peut nous apprendre ce saint à la voix tonitruante ? A travers les siècles il nous enjoint de revenir au meilleur de nous-mêmes et de nous transformer pour transformer le monde. Il nous montre la grandeur de l’humilité et la beauté qu’il y a à œuvrer sans vouloir prendre toute la lumière.

  J’ai aimé retracer la vie du Baptiste pour mieux comprendre qui il est et pourquoi il a inspiré tant d’artistes. Une riche iconographie accompagne le texte, témoignant de l’importance de ce saint pour l’art.

Saint Joseph, le bien caché

Saint Joseph, le bien caché

Pascale Léger

Ce que l’on sait du père de Jésus, ce qu’on peut imaginer ( Editions Almora)

Toponymie de Signes

Toponymie de Signes

Gérard Tautil

Un Territoire et des Hommes – Le trésor des noms de lieux d’un village provençal

Gérard TAUTIL – Préface de  Alain Barthélémy-Vigouroux – aux Editions du C.R.E.O. Provence et de  l’I.E.O Var

L’étude des noms de lieux en Pays d’Oc est une étape importante de la réappropriation linguistique et culturelle. La connaissance des toponymes signois entreprise par Gérard Tautil et les participants au cours de Langue d’Oc-Provençal, fruit de trois années d’enquête sur le terrain, aboutit à cette publication qui s’inscrit dans la droite ligne de la recherche toponymique provençale.

Quel sens peuvent avoir ces noms de lieux juxtaposés dans les cartes et les documents cadastraux, autre que faussement évident : Belincent, Cancerilles, Cante Cigale, Carnaval, Chabran, Croupatières, Mare Caïre, Maramouyé, Gapeau, Garagaï du Signoret, Jas de Laure, Latay, Panerolle, Pou de Vèze, Puits d’Encastre, Queue de Sartan, Ragage de Brugedor, Roudelière, Samble du Tuèi, Signes, Suy ou Siou Blanc, Uyé des Lèques, Vanade, Ventador, Viole ?

La toponymie est un véritable déploiement d’histoire, elle donne du sens à nos lieux de vie. Non seulement pour les locaux mais aussi pour les Provençaux d’hier et d’aujourd’hui. Partie de nous-mêmes, elle nous fait découvrir le pays derrière le paysage et nous fait pays. Ce travail rigoureux nous fait entrer en sciences humaines par une porte trop longtemps ignorée en anthropologie. La connaissance de la Provence réelle, en perspective avec l’ensemble occitan, y trouve un nouvel éclairage.

Gérard TAUTIL, auteur de nombreux articles et d’ouvrages sur la réalité culturelle, sociale et politique occitane. Il contribue aujourd’hui, dans le suivi d’une recherche collective sur sa commune, à une étude toponymique qui est l’une des manifestations de la culture d’Oc et de ses origines dans le cadre de la formation des langues romanes.

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Pour commander :

Adresse : Lo Cebier – 300, chemin du Plan de Chibron- 83870 SIGNES

  • 1ex : 20€ + 6 de port (lettre suivie) Chèque à l’ordre de « Gérard Tautil »

Philippe Richaud vous emmène sur Garlaban

Philippe Richaud vous emmène sur Garlaban

Philippe Richaud

Durant deux années, Philippe Richaud a parcouru et photographié cette terre minérale de Provence. Révélant le
caractère unique de ce massif. Ses photographies mettent en lumière sa beauté, sa diversité et dévoilent son histoire.

Photographies Philippe Richaud – Texte Georges Mérentier

L’arbre à histoires & Histoires à dormir debout

L’arbre à histoires & Histoires à dormir debout

Natalie Huille

Écrites au fil du temps, toutes ces histoires publiées dans ces 2 livres se passent dans la Sainte-Baume. Les ouvrages sont disponibles auprès de l’auteur.

natalie.huille@gmail.com

Marie-Madeleine l’amour a tant de visages

Marie-Madeleine l’amour a tant de visages

Pascale Léger

Un texte de Pascale Léger, passionné et documenté, magnifiquement illustré, qui nous fait découvrir Marie Madeleine dans ses multiples visages. Etait- elle une pécheresse repentie, la disciple préférée de Jésus, l’apôtre des apôtres, une sainte, l’icône de l’amour? Autant de visages de la féminité, de la foi et de l’amour qui ont inspiré les artistes au cours de siècles.

Basilique Sainte Marie-Madeleine

Basilique Sainte Marie-Madeleine

Zvardon - Françoise Sur

L’oeil du photographe vous fera découvrir la basilique de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume comme vous ne
l’avez jamais vue !
Trésor d’art et d’architecture pour le sanctuaire de Sainte Marie Madeleine à partager sans modération.
La vente de ce livre est en faveur de la restauration du « troisième tombeau de la chrétienté ».

Marie-Madeleine femme évangélique

Marie-Madeleine femme évangélique

Jean-Pierre Ravotti

Interview de Mgr Ravotti par TB : « J’ai entendu parler de Marie-Madeleine pendant toute mon enfance. Elle a toujours fait partie de ma vie. Je peux dire qu’elle m’a touché, et que j’en été imprégné. C’est comme si elle faisait partie de mon ADN. L’ordinaire est devenu extraordinaire ! »

Les carnets de route d’Alain Raynaud

Les carnets de route d’Alain Raynaud

Alain Raynaud

En 414, Jean Cassien venu d’Orient, arrive à Marseille et fonde l’abbaye Saint Victor qui rassemblera quelque 5000 religieux et religieuses sur la région, y compris dans le massif de la Sainte Baume. Saint Cassien aurait fondé deux couvents à la Sainte Baume, l’un d’hommes, l’autre de femmes. Des noms de lieux gardent localement le souvenir de l’implantation victorine : grand et petit Saint-Cassien, baou de Saint-Cassien, aven de Saint-Cassien… Au 8e siècle, les Sarrasins, qui avaient envahi l’Espagne, devenaient une menace sérieuse pour la Provence. Des précautions furent prises en cachant les reliques de Marie-Madeleine… En 972, la noblesse provençale, dirigée par le Comte Guillaume d’Arles, met un terme définitif à la présence sarrasine au Fraxinet. Au début du siècle suivant, Isarn, abbé de Saint Victor de 1020 à 1048, construit l’église supérieure de l’abbaye marseillaise au-dessus de la crypte. Elle sera consacrée par le pape Benoît IX en 1040. L’origine de l’église Saint Jacques du Plan d’Aups date de cette époque, ainsi qu’un hospice pour recevoir les pèlerins. Ce 11e sièclemarque aussi le renouveau des pèlerinages en général, et ceux de Saint Maximin et de la Sainte Baume en particulier…

Extrait de « le VAR itinéraires-découvertes »

Contes et légendes en forêt de Sainte-Baume

Contes et légendes en forêt de Sainte-Baume

Christian Vacquié

Connaissez-vous les contes & légendes de la forêt de la Sainte-Baume ? Christian Vacquié nous invite à découvrir, dans un parcours initiatique au cœur de cet écrin sacré depuis la nuit des temps, un haut lieu de réconciliation entre l’Homme et la Nature. Au fil des pages, vous percevrez peut-être que dans l’ombre des sous-bois, se cachent les mystères des arbres et des sources…

Disponible en Offices de Tourisme et en librairie

Provence verte à pied

Provence verte à pied

La Provence Verte

Partez à la découverte du parcours de randonnées : Les oratoires de Saint-Probace.

L’Évangile de Marie-Madeleine

L’Évangile de Marie-Madeleine

Daniel Meurois

Et si Marie-Madeleine n’avait pas été la pécheresse repentie des textes officiels, mais bien autre chose ?
Jusqu’à il y a peu de temps encore, le grand public ignorait que celle qui apparaît de plus en plus comme la première disciple du Christ avait inspiré un évangile. Pour intriguant et puissant que soit le manuscrit portant son nom et qui fut découvert à la fin du XIXe siècle, celui-ci n’en demeurait pas moins incomplet, car amputé d’une bonne partie de ses pages. Un fossé restait donc à combler et, pour cela, il fallait remonter un peu plus à la source…

Depuis de nombreuses années, on connaît Daniel Meurois pour ses écrits concernant la pensée essénienne et les origines du Christianisme. Loin de l’exégèse, sa méthode de travail se base sur la lecture des Annales akashiques, la «Mémoire du Temps». C’est en utilisant sa fascinante capacité à y puiser que l’auteur nous restitue de manière audacieuse une version intégrale et originelle de l’Évangile de Marie-Madeleine. Cette version se devait cependant d’être éclairée et commentée. Pour plonger dans l’ambiance des débuts de notre ère…
Livre disponible à la boutique (parking de l’hôtellerie de la Sainte Baume)

En Provence, des poteries aux faïences

En Provence, des poteries aux faïences

Bernadette de Resseguier

Véritable emblème de la Provence les poteries, terres cuites et faïences sont partout dans notre belle région, telles le symbole d’un art de vivre.

La conservatrice du musée de la faïence de Moustiers, Bernadette de Rességuier, nous raconte l’histoire de la céramique en Provence.

Edisud 2008

Le trésor d’Auriol et les premières monnaies du monde occidental

Le trésor d’Auriol et les premières monnaies du monde occidental

Guy Venaud

10 ans déjà que l’ASPA (Association pour la Sauvegarde du Patrimoine Auriolais) œuvre pour faire connaître le passé de sa Commune. Expositions, conférences, sorties, édition de livres, accueil des élèves des écoles…implication avec d’autres Associations amies sur de grands projets tel  que le Parc Naturel Régional de la Sainte-Baume, la gestion concertée du bassin de l’Huveaune ou comme l’an dernier le projet MP13 du Musée Martin-Duby.
A ce propos, sachez qu’une salle du Musée reste consacrée au trésor d’Auriol et que vous pouvez acheter lors de votre visite le livre «  le trésor d’Auriol et les premières monnaies du monde occidental  » de Guy Venaud.
Consultez notre blog : http://aspauriol.blogspot.fr/ – 04 42 72 84 29
Il vous en dira beaucoup plus sur nos activités et vous permettra, peut-être d’y participer : elles sont ouvertes à tous.

7 hommages à Marie-Madeleine

7 hommages à Marie-Madeleine

Les vitraux de Pierre Petit

« Ainsi ai-je recherché à l’exemple des grands verriers du XIIe et XIIIe siècles, à écrire quelques nouvelles pages de la Bible des pauvres mêlant volontairement symboles chrétiens et compagnonniques et jouant naturellement avec la forme, les lignes et surtout la couleur pour mieux provoquer la « rencontre » avec la clarté qui est quête passionnée de tous ceux qui refusent le dérisoire et acceptent de vivre leur vérité ».

(Extrait du livre 7 hommages à Marie Madeleine – www.ecomusee-saintebaume.u-3mrs.fr – 06 85 92 45 00 )

La Sainte-Baume, Une Porte vers le sublime

La Sainte-Baume, Une Porte vers le sublime

Denis Caviglia

Redécouvrez la Sainte-Baume au travers de l’objectif de Denis Caviglia, photographe passionné depuis 30 ans. A lire, notre article sur « la Sainte-Baume une porte vers le sublime« .

À commander sur www.deniscaviglia.com ou en librairie.

Promenade en Sainte Baume

Promenade en Sainte Baume

Jean-Claude Tempier

Jean-Claude Tempier nous livre les secrets de la faune et de la flore exceptionnelle de la région méditerranéenne. Ce guide nous fait voyager sur différents parcours de promenades riches en découvertes naturalistes.

www.tempier-nature.com

Histoire de La Roquebrussanne

Histoire de La Roquebrussanne

François Francis Bus

Rostaing de Signes habite son château construit en 984. Guilhem de Rocbaron a réalisé sur un piton rocheux une sorte de nid d’aigle, le château fortifié Saint Sauveur. A Néoules, sur les rochers de Saint Thomé se trouve un château comprenant un logis seigneurial, une église et une cour fortifiée. À Garéoult, Rainold est le seigneur du lieu et à Mazaugues, le château7 est habité par le seigneur Plautin. Vers la fin du 10e siècle, un seigneur du nom de Brusson construit le castrum de La Roca. « Sur un rocher escarpé se trouve le château féodal avec ses tours, ses murs crènelés, ses sarbacanes , ses fossés et ses ponts levis. Au pied de ce rocher, des maisons agglomérées, entourées de remparts, protégées par le château ». Les habitants, entre autres les Remonenq, Massis, Bosq, Bremond, Chaudin, Marin, Ollivier, Reboul, Roiubaud, prennent l’habitude de le nommer Roca Brussana, la Roque de Brussan.

François Francis BUS – 04 94 86 92 80

Les carnets de route d’Alain Raynaud, Provence médiévale

Les carnets de route d’Alain Raynaud, Provence médiévale

Alain Raynaud

Alain Raynaud nous embarque dans un voyage historique en plein coeur du Var. Il nous fait découvrir 90 sites médiévaux  regroupés en vingt itinéraires-découvertes. Ce carnet de route nous invite à de superbes découvertes au coeur d’un riche patrimoine et d’une histoire qui a forgé l’identité de la région.

« le VAR itinéraires-découvertes »

Les recettes de Mamette

Les recettes de Mamette

Martine Iplikdjian

Le livre de Martine Iplikdjan est un livre de recettes entièrement consacré au pois chiche. Vous pouvez lire un extrait de ces recettes dans notre article de l’édition 2017.

martineip@hotmail.com

La vallée du Gapeau

La vallée du Gapeau

Paul Pisano - Éditions Serres

« Le domaine du château de Cancerilles appartenait aux Chartreux et faisait partie des terres longeant les rives du Gapeau. Les moines cédèrent cette propriété aux comtes de Provence, et en 1724, le roi Louis XIV les offrit, ainsi que le titre de noblesse, à un courageux et aventureux commerçant, Monsieur Antoine Billon de Cancerilles, en remerciement de l’avoir soigné et guéri de nombreux et douloureux maux de ventre. Antoine Billon de Cancerilles récoltait les plantes médicinales et les vendait en Perse. La vigne fut durant de nombreuses années entretenue puis délaissée. La famille Garcia reprit cette exploitation en rachetant la propriété en 1989. Dans ce magnifique vignoble, le sol est travaillé à la charrue, et le raisin est récolté à la main … »

(Extrait du livre paru aux éditions Serres – La vallée du Gapeau – Paul Pisano 04 94 33 71 00)